© Le "Saint Suaire de Turin" : ... un pur produit Made in France !
Vidéo
(cliquez
ici) Réalisation 1998 par
le Pr. H. BROCH d'un saint suaire de Turin (TV
canadienne)
Vidéo
(cliquez
ici) Réalisation 2005
par le Pr. H. BROCH d'un saint suaire de Turin
(TV allemande)
Vidéo
(cliquez
ici) Réalisation 2009
par le Pr. H. BROCH d'un saint suaire de Turin (Lazarus-Mirages)
Le "Saint Suaire de Turin" dont le vrai nom
est... "suaire
de Lirey" (cf. le livre du Pr. Henri BROCH "Gourous,
sorciers
et savants")
est un linge datant de plusieurs siècles et portant "l'empreinte" du
Christ. Ce linge est en fait le résultat d'un probable frottis
(tamponnage) sur un bas-relief représentant le
Christ et une mystification avérée du clergé d'une collégiale (Lirey)
de la région champenoise en France dans les années 1350.
Frottis (ci-dessus les liens vers de courtes
vidéos d'exemples de réalisations de "suaires" par le Pr. Henri BROCH)
avec des pigments ocre rouge
liés par de la colle d'os ou colle de peau, ingrédients
dont la présence sur le "suaire de Turin" a été scientifiquement
démontrée.
Le "saint suaire de Turin" - qui est donc un
pur produit Made
in France, même si cela choque certaines personnes - a
d'ailleurs été dénoncé
comme
une mystification,
dès l'origine au XIVème siècle, par
l'évêque de Troyes, Henri de poitiers,
qui avait mené une enquête et retrouvé l'artiste qui l'avait
fabriqué, artiste qui avait attesté de cette fabrication !
Les résultats de la datation
au carbone 14 effectuée en 1988 ont d'ailleurs confirmé
pleinement cette époque. Datation du lin constituant le suaire : 1325
± 65 ans.
Et cette datation, contrairement aux contre-vérités (exemples : pièces
sur les yeux, pollens de Palestine, traces de sang, dégradation de
la lignine, raccommodage, etc, etc. - assénées
régulièrement par quelques émissions, articles et/ou individus ayant
seulement et sans aucune rigueur survolé le sujet) est toujours valide
et validée.
Pour ce qui concerne la soi-disant "contamination"
(ajout de carbone récent soit par contamination directe, soit par
raccommodage ou rapièçage) pouvant fausser la datation, il suffit de
lire l'article du Pr. Henri Broch "C14
et
Suaire de Turin", article qui explique - démonstration
scientifique
à l'appui - que cela est un pur mensonge.
Contrairement à ce que - de nos jours encore ! - étalent complaisamment certains médias, le "suaire de Turin" n'est pas "acheiropoïète" (c'est-à-dire "non fait de main d'homme"). Il est même assez facile à refaire. Le Pr. Henri Broch en a fabriqué de nombreux depuis le tout début des années 1980 (avant même les datations C14) sans aucun problème et en quelques minutes avec sa technique du tamponnage. Henri Broch a fait des émules et a ensuite été suivi par nombre de ses étudiants de Zététique et par plusieurs personnes, comme le Dr. Jacques di Costanzo venu au laboratoire de Zététique en octobre 2004 pour "apprendre la technique du Pr. Henri Broch pour faire des suaires". Ces
"suaires"
ont toutes les
caractéristiques
attribuées
au linge sacré, y compris le fameux "effet 3-Dimensions",
c'est-à-dire la reconstitution du relief contenu dans l'image.
Vous trouverez toute l'information précise sur cet effet
3-dimensions dans "Gourous,
sorciers
et savants"
Il est à noter que le relief contenu dans l'image du "suaire" conservé à Turin confirme même que ce linge n'a jamais contenu de corps ; le relief contenu est en effet de l'ordre de 4 ou 5 cm. En d'autres termes : ...un bas-relief ! |
Cliquez
ici
pour voir une réalisation d'un "suaire" en 2009 Réalisation
d'un
"suaire de Turin" par le Pr. Henri BROCH filmée
en 2009 au laboratoire de Zététique pour l'expérience Lazarus-Mirages
de Patric JEAN et Henri BROCH. Il s'agit ici d'un extrait du
premier teaser de cette expérience transmédia. © P. Jean
& H. Broch
Cliquez
ici
pour voir une réalisation d'un "suaire" en 2005 Réalisation d'un "suaire de Turin" par le Pr. Henri BROCH filmée en 2005 au laboratoire de Zététique par une équipe TV allemande et diffusée sur ZDF, Allemagne, en novembre 2006, dans un film de 45 minutes ("Der Mann auf dem Grabtuch", 2006) entièrement consacré au "suaire de Turin" et jamais diffusé sur Arte en France. © Caligari Film GmbH, Munich.
|
![]() "Pro DQ HB fecit MMI". Suaire très spécial à structure "évanescente" fait en 2001 par Henri BROCH et offert à une personne qui l'utilise comme une icône de prière. |
©
Les ingrédients pour reproduire le miracle de la liquéfaction
du sang de Saint Janvier à Naples
Le miracle de la liquéfaction du "sang de Saint
Janvier" à Naples, qui a toujours lieu de nos jours, peut très bien
s'expliquer par... une simple recette chimique (orcanette, spermaceti,
éther sulfurique*) qui se trouve, entre autres, dans le dictionnaire
de Pierre Larousse du XIXème siècle ! Une "ampoule miraculeuse"
fabriquée au tout début des années 1980 par Henri Broch
présente toutes les caractéristiques du miracle
dans lequel la surnaturelle transition dur --> liquide se fait en
fonction... de la température.
Pour les détails sur le miracle
de la liquéfaction du sang de Saint janvier, cf. le
chapitre spécifique dans
l'ouvrage "Le
Paranormal", Seuil
(1985) 2001 en pages 103 à 112
(éd. 2001) ainsi que les compléments
d'information en pages 310 à 314 dans le chapitre "Quelques astuces
des thaumaturges au fil des siècles" de l'ouvrage "Au
Coeur de l'Extra-Ordinaire", éd. Book-e-Book.com
2015
La "nouvelle hypothèse", médiatisée à la suite
de la publication d'une lettre de sceptiques italiens dans la revue
Nature le 10 octobre 1991, d'une substance thixotrope (c'est-à-dire
qui se liquéfie sous l'effet d'un choc) pour expliquer le miracle de
Saint Janvier... n'est pas si nouvelle que cela puisqu'elle a été déjà
publiée plusieurs fois par le passé par d'autres auteurs et, de
plus, elle n'explique pas toutes les caractéristiques du
miracle . Ce
que fait par contre fort bien l'hypothèse du mélange sensible à la
chaleur.
Il y a également d'autres recettes. Henri
Broch, dans son livre "Au Coeur de l'Extra-Ordinaire",
en a donné une (sans éther et à
base de bile de boeuf) qui provient du
témoignage d'un médecin qui ... a assisté à la fabrication de la
recette in situ dans la pharmacie de l'hôpital municipal de Naples !
Pour plus d'informations sur ces derniers points, cf.
l'ouvrage "Au
Coeur de l'Extra-Ordinaire", éd. Book-e-Book.com
2015
(* Contrairement à ce qui est allégué
quelquefois, l'éther sulfurique n'est en rien un anachronisme dans
cette recette puisque cet éther,
le
vitriol doux, a été découvert... par le "chimiste" catalan
Raymondus Lullus au XIIIème siècle, vers 1275)
Sommaire
détaillé de
"Gourous,
sorciers
et savants"
(éd. Odile Jacob 2006)
Et "Au
Coeur de l'Extra-Ordinaire" (éd Book-e-Book 2015)
© La marche sur le feu
La marche sur le feu, marche sur les charbons ardents,
paraît vraiment un miracle ou un exploit nécessitant un pouvoir mental
extraordinaire et un contrôle de son corps digne des lamas tibétains
dans les meilleurs films du genre.
En fait, le miracle est dû principalement à la faible capacité
calorifique des charbons et à leur également faible conductivité
thermique. Pour démontrer cette alternative, Henri
Broch a marché, pieds nus, sur des charbons ardents au
CNRS-Marseille en mai 1992... en lisant, bien sûr, le chapitre de son
ouvrage "Au
Coeur de l'Extra-Ordinaire",
(éditeur actuel
Book-e-Book
2015) qui explique la marche sur le feu.
Tout un chacun - à condition de vaincre sa peur - peut y parvenir avec
de faibles risques de brûlure.
Attention toutefois, relisez bien les mots qui précèdent: "faibles
risques ...... de
brûlure" ne signifie pas "risques
...... de brûlure faible"
!
Et "Au Coeur de l'Extra-Ordinaire" (éd Book-e-Book 2015)
© Le "cosmonaute maya" de Palenque, Mexique
Dans le domaine de l'archéologie spatiale, le
"cosmonaute maya" est certainement la pièce la plus connue et la
preuve que des extraterrestres sont venus prendre contact avec les
humains dans l'Antiquité. Cette "preuve" est le dessin sculpté sur la
dalle de couverture du sarcophage découvert en 1952 dans la crypte du
Temple des Inscriptions à Palenque au Mexique et qui représente, selon
Charroux, Daniken et autres archéomanes, "un astronaute au poste de
pilotage de son vaisseau".
En fait, comme Henri
Broch l'a expliqué dansson ouvrage "Le
Paranormal", Seuil 1985-2007
(et, avant cet ouvrage, dans "La
mystérieuse
pyramide de Falicon",
France-Empire 1976), le contexte maya local
fournit l'explication de cette sculpture. Il suffit de "redresser"
l'image du cosmonaute - toujours présentée horizontalement - et de la
comparer avec le motif du Temple de la Croix, temple voisin sur le
même site de Palenque.
En 1 : masque du monstre de la terre, symbole de la mort.
En 2 : l'arbre sacré, ceiba (i.e. kapokier, fromager) ou la plante
sacrée, maïs.
En 3 : le quetzal (oiseau-soleil), symbole de vie.
"Au Coeur de l'Extra-Ordinaire" (éd Book-e-Book 2015)
© La pyramide de Falicon. Quelques clichés au cours du temps...
Le site de la "Bauma des Ratapignata", avec la pyramide
qui marque l'entrée de la grotte, est
situé sur la commune de Falicon jouxtant la
commune de Nice. Pour les informations sur
cette pyramide et la grotte (avec les plans du site, de la pyramide et
du souterrain ainsi qu'un relevé précis et complet de la grotte),
reportez-vous directement à l'ouvrage de Henri BROCH "La
mystérieuse pyramide de Falicon",
France-Empire, Paris 1976.
Suite à cet ouvrage et une pétition que l'auteur avait lancée pour la
sauvegarde de l'édifice (recueillant plus d'un millier de signatures)
ainsi qu'un gros dossier qu'il avait élaboré ("j'ai
adressé le dossier que vous m'aviez remis à Monsieur le Directeur
Régional des Affaires Culturelles de Provence", lettre du Ministre de
la Culture Jack LANG à Henri BROCH du 4 août 1982),
les choses avaient - un peu - avancé :
-----------------------
"J'ai l'honneur de vous faire
connaître que le dossier de cette affaire a été soumis à la
Commission Départementale des Sites qui, en sa séance du 11 Mai
1982, a émis un avis favorable à l'inscription à l'inventaire des
Sites de la Pyramide et de ses abords." (Lette du
Préfet des Alpes-Maritimes Pierre LAMBERTIN au Conseiller Général
Louis BROCH du 24 juin 1982).
-----------------------
Après plusieurs demandes (et cela depuis même
le début du XXème siècle), demandes de
divers élus, groupes ou associations et in fine de l'IPAAM (Institut
de Préhistoire et d'Archéologie Alpes Méditerranée), la pyramide de
Falicon a été enfin inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques
le... 7 août 2007 ! (et... inscrite
et non classée).
Voici quelques clichés pris par Henri BROCH vers les années 1965-1967, 1972 et 1981 qui pourront permettre, en comparant avec l'état actuel, de "mesurer" les malheureuses dégradations subies par ce monument resté trop longtemps non protégé.

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